Les chansons de Ferré sont intemporelles, donc éternelles, elles appartiennent à ceux qui les aiment, à ceux qui les chantent, elles appartiennent à Léotard... Bien d'autres chanson et poèmes encore, sans amidon et sans emphase, trouvent une simplicité extrême qu'ils n'ont jamais eu avec Ferré. C'est peut être là le plus grand mérite de Léotard, cette apparente modestie, qui laisse aux musiques, aux mots accordés, l'éclatante nudité des parfaites épousailles.
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