Le bel envol d’une artiste magique ! Un road-movie sur la tournée et en bonus, plusieurs versions inédites en acoustique du titre « La Maigrelette ». Une aventure musicale enivrante et colorée où les yeux se régalent autant que les oreilles. Amélie-les-crayons ne fait pas des concerts : elle fait des spectacles. On le sait depuis 2004 et la première apparition du piano magique où poussaient des fleurs. Un spectacle donc, avec une qualité d'image, de son, de mouvement qui le rendent unique. Deux ans de tournée et près de 80 000 spectateurs plus tard, le projet fait aujourd’hui l’objet d’un DVD où l’on retrouve bien sûr l’intégrale du spectacle mais également un road-movie sur la tournée et en bonus, plusieurs versions inédites en acoustique du titre « La Maigrelette ».LE SPECTACLE Comme « Le Chant des Coquelicots » en 2004, « La Porte Plume » créé en avril 2007, est un spectacle, et pas simplement un tour de chant où les titres s’enchaînent sans lien particulier. Autour d’un piano géant de deux mètres de haut, qui est aussi une porte et un mur à percussions, Amélie et ses trois comparses multi-instrumentistes, nous emmènent dans une aventure musicale enivrante et colorée où les yeux se régalent autant que les oreilles. LE TOURNAGE : Tourné dans l’ouest lors des concerts à St Barthelemy (49), Ancenis (44), La Flèche (72) et Bressuires (79), le spectacle montre ici toutes ces facettes poétiques, oniriques, enjouées ou burlesques, le rapport extraordinaire de la chanteuse avec son public ainsi que toute l’ambiance particulière qui se dégage de cet univers étrange qui évolue autour du piano géant. Les concerts ont été filmés avec une multitude de caméras (11 en tout), avec des focales cinéma, oeil de bœuf, micro-caméras disséminées sur scène, polcam sur grue, donnant au montage une vivacité étonnante. Le groupe, en grande forme, y montre toute l’étendue de son excentricité et de son talent musical (plus de quinze instruments sont joués sur scène). Le montage garde l’intégralité du spectacle, y compris les imprévus, notamment lorsque le public, légèrement dissipé, fait recommencer le titre « Elizabeth » depuis le début !
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