Une poésie sonore à des années lumière de la médiocrité ambiante.
Après un premier album très remarqué, de nombreuses récompenses, et une tournée fournie dans la francophonie, l’OMP s’est lancé de nouveaux défis déjà réussis.
L’écriture de Peter qui s’est plongé dans l’extraordinaire univers de son maître à penser, le génial Robert Filliou et des taoïstes chinois, se révèle une fois de plus unique. Le « duel » entre la puissance du groove de Peter et le raffinement des mélodies classiques d’Alejandro Petrasso sort encore renforcé par une section rythmique plus musclée.
Nous sommes face à une poésie sonore à des années lumière de la médiocrité ambiante.
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