Un Brassens original et différent pour oreilles curieuses ! Deux artistes et treize chansons pour écouter Brassens autrement. Une relecture insolite, insolente et surprenante des chansons de Brassens.
Hervé Suhubiette L'éclectisme enthousiasmant ! Qu'il anime une formidable pépinière vocale toulousaine, qu'il chante pour les petits ou pour les grands, Hervé Suhubiette suscite l'enthousiasme par son talent hors étiquettes, mariant chanson et musique contemporaine.
Rencontre entre deux artistes venus d'univers différents. On peut croiser Philippe Gelda dans le domaine de la chanson avec « Les poids plumes », du jazz avec « Katz » de Marc Demereau ou encore du théâtre dans « Novecento pianiste » où il accompagne René Gouzenne en compagnie de Clara Girard.
En 2001, la librairie Ombres Blanches (Toulouse) demande à Hervé Suhubiette de chanter quelques chansons de Brassens, à l'occasion de l'anniversaire des vingt ans de sa disparition, en complément d'une conférence autour de sorties de livres. Hervé Suhubiette contacte le pianiste Philippe Gelda, et tous deux proposent un concert-lecture composé d'une dizaine de chansons.
Encouragé par l'accueil du public et motivé par l'envie de prolonger cette rencontre autour de Brassens, le duo Gelda / Suhubiette se reforme aujourd'hui pour un récital complet.
Avec insolence et sensibilité, ils s'amusent à revisiter ce répertoire devenu aujourd'hui presque « classique » : une voix, parfois deux et l'incontournable guitare s'est transformée en un piano où viennent se glisser quelques objets intrus. Sonorités douces, feutrées, métalliques ou percussives. Le piano trafiqué sonne, tape, grince, résonne et donne à entendre un Brassens aux couleurs inhabituelles. Le répertoire est constitué d'incontournables (« La mauvaise réputation », « Le vent », « Pauvre Martin », « La canne de Jeanne »…) mais aussi de chansons un peu moins populaires (« Comme une sœur », « La ronde des jurons », « Les croquants », « Les quatre z'arts », « La ballade des cimetières »…).
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