Premier album en leader d'un artiste qui a déjà fait ses
preuves
notamment au sein des deux albums de Selmer 607. Un album loin du jazz manouche puisqu'il fait la part
belle
au JAZZ, au FUNK, au LATINO sur un parfum ROCK « Un album brillant, prometteur
et gourmand, plein de saveur » Guitare
& Bass magazine
L’album Why Note de Richard Manetti vient de se voir décerner
deux récompenses parmi les plus prestigieuses au monde du jazz et des hommes : le « Deutsche Critik » allemand et Le « TOP all about the jazz »
anglais. L’occasion
d’aller appréhender l’originalité de cet album.
« Son univers se
situe quelque part entre le jazz et le funk sur un parfum de jazz manouche.
Finesse d’interprétation et subtilité de jeu, cet interprète compositeur
passionné fait aussi preuve d’une énergie débordante... et communicative !
Sa musique est toujours du Champagne sur scène !!! »
Dans le « Guitar
Family Connection », il y a le père, Romane, dont le nom évoque à lui seul
l'héritage de Django Reinhardt revisité et le charisme de ces bêtes de scène.
Et il y a le fils aîné, Richard Manetti, qui, à 26 ans, multiplie les
expériences sur les grandes scènes jazz nationales et internationales
(Juan-les-Pins, Patrimonio, Nashville, Seattle...) et s'est vu doter du label
Talent Jazz Sacem.
Virtuose !
À seulement 25 ans, Richard Manetti possède déjà une solide
expérience du disque et de la scène avec notamment Père et fils,
enregistré avec le guitariste Romane (son père), et sa collaboration au projet
Selmer 607 qui réunit la fine fleur de la nouvelle génération de guitariste de
jazz manouche.
Mais avec Why Note, c’est une autre musique que veut
nous livrer Richard Manetti. Sans renier cet héritage, il fait aujourd’hui la
synthèse de toutes les musiques qui l’habitent et propose, un métissage subtil
entre jazz, musique brésilienne, tango et même parfois pop.
De Braz-Tang, évocation d’un tango coloré du Brésil, à
Camden Town aux accents rocks, en passant par It’s Time, jazz survolté, la
musique est funky, groovy et contagieuse. La guitare de Richard Manetti
s’éloigne du chemin tracé par Django Reinhardt pour retrouver celui de Georges
Benson. Les rythmiques sont enlevées et les chorus généreux.
Invité sur deux titres ("Camden Town" et "London"), le saxophoniste
Stéphane Guillaume (prix Django Reinhardt 2009), ajoute avec élégance une
touche virtuose et mélodique qui enrichit l’ensemble. Pierre-Marie Braye-Weppe,
violoniste et arrangeur, participe au groove avec son quatuor sur Camden Town.
Au côté de Richard Manetti, Yoann Serra, à la batterie, et
Jean-Marc Jafet, à la basse, constituent une base rythmique solide qui
fonctionne en synergie avec le piano de Fred d’Oelsnitz.
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