L'accordéon endiablé de Frédéric Schlick rencontre Biréli Lagrène et André Ceccarelli.
Fréderic Schlick est un musicien étonnant tant dans son parcours de musicien que dans sa vie. A 60 ans, il décide de revenir à ses premiers amours, le jazz, fils spirituel D’art Van Damme, il adore Toots Thielemans, Stan Getz ou encore George Shearing.
C'est Bireli Lagrene, contacté pour participer à un enregistrement qui l'incitera à se lancer dans une carrière européenne d'accordéoniste de jazz.
Depuis, il à enregistré 12 albums, à composé presque mille titres et en à cosigné 150 avec Peter Soave, Art Van Damme, André Céccarelli, Bruno Lorenzi, Francis Darizcuren.
A 60 ans, l'accordéoniste alsacien revient à son premier amour : le jazz. Ce disque est en fait dédié au maître en la matière, à savoir Art Van Damme. Pour ce faire, Frédéric Schlick s'est entouré de musiciens dont la renommée n'est plus à faire. A l'écoute de cet album, on se rend compte du choix judicieux qui a été fait. Plus qu'un coup de pub (hypothétique), l'accordéoniste a tout d'abord cherché une interaction musicale - non pas rythmique, bien que les artistes en question n'aient plus rien à démontrer sur ce versant mais bel et bien sur un plan mélodique.
*** Jazzman
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